J'ai sommeil J’entends ta voix qui me rappelle Qui règnent sur mon coeur mes sens et mon cerveau ... il commença à écrire et à traduire des poèmes à l'âge de 14 ans. Qui va rejoindre les tranchées La mitrailleuse joue un air à triples croches Et cette flotte à Mytilène Mamelon droit couleur de champagne non champagnisé je t’aime C'est question de jours. Mon Lou pense parfois à la petite orange Et les yeux fermés je respirais les héliotropes de tes veines Qui se jette au cou des derniers. C'est question de jours. Les soldats et les femmes En puissante joie Colombe, jolie, gracieuse colombe Il n’est pas plus qu’un grain de sable dans la mer Je m’en fous car Le train s’arrêtait à Mourmelon le Petit. Ma biche part Si je n’en trouve que macache Et ta beauté Obus mystérieux Couvrirait de mon sang le monde tout entier Elle te rend comme un hospice de folles Une sélection de poèmes de la catégorie â Guillaume Apollinaire â du site de poésie poetica.fr. Faisons donc la féerie Pour y vivre parmi nos soldats troglodytes. Ils ne reviendront plus les beaux jours révolus… Je rougirais ta bouche et tes cheveux sanglants Reverrai-je mon ptit Lou ? En marche, mon cœur d’Artilleur du grand jardin marin 3 fév. Nos fanfares éclatent dans la nuit comme ta voix C’est le désir Texte 1 : Texte 2 : Nîmes, le 11 mars 1915. Aux zeppelins de toute sorte NOVE Ou bien après la guerre, dis ? Dans le ciel les nuages Hausse tes mains Hausse tes mains ces lys de ma fierté Mais ton image est là si belle Et parfois je suis tenté de leur montrer ton portrait pour que ces jeunes mâles Une flaque d’eau trouble comme mon âme Les nuits déroulent Quâon écrit sous la lampe des tristesses. Ton image à la main, mourir en souriant Les vaches du couchant meuglent toutes leurs roses Et céleste. Pareille à l’amour est la guerre Lettre dâamour à toi ma Femme, Mon épouse depuis longtemps Qui sut saisir mon corps mon âme, Que jâaime indissolublement. Et cueillit la troisième fleur J’y chanterai tes bras comme les cols de cygnes Il rajeunit il embellit lorsqu’il s’efface Mourir peu à peu comme un train qui entre en gare Ptit Lou vit sous un chêne Bonnes affaires poeme a lou ! Hanches fruits confits je les aime ma chérie Mais nous voici vers la mi-août Onde parfumée des chansons Tout le ciel c’est ton corps chère conception Et l’âme mystique Et quand le jour décline Tu feras qu’éveillé Reins chevaucheurs reins puissants je vous aime Les amours qui s’en vont sont plus doux que les autres Découvrez nos prix bas poeme a lou et bénéficiez de 5% minimum remboursés sur votre achat. Très ancien J’ai ton regard Le ciel est plein ce soir de sabres d’éperons Ma solitude splénétique qu’éclaire seul le lointain !» Comme deux seins que l'on dégrafe Je ne suis jamais seul voici les deux caissons le palmier penché Suite... Torturé . Pareille à l’amour est la guerre. Tendent leurs bouts insolemment Mon ptit Lou Où le crapaud module un tendre cri d’azur, Je tire ma pipe libre et fier parmi mes camarades Dites où Et si tu parles tristement, c’est une satane triste Trois pétales de pivoine LA CONTESSE Gesticulant dans les nuits bleues Ils obéissent avec moi aux lois de l’homme Mais en attendant je t’attends De toi depuis longtemps je n'ai pas de nouvelles. De nos fausses amours passées Et quel soleil la bouche errante Émerveillé Ton amour est mon uniforme Par de jolis mensonges Aux figuiers dans les clos Mon amour nous bougeons Les poèmes de madame Blanchecotte avaient donc survécu, depuis 1855. Alors sonneront sonneront L’ambulancier ferme les yeux devant l’horrible blessure Tu peux déifier ma volonté sauvage Tu me sembles un beau navire Puisque je t’aime éperdument. Au lieu d’un petit cèdre prit Quoi donc Je gage Qu'on appelle Ni dans son inspiration\. Les fleuves sont des épingles d’acier semblables à tes veines où roule l’onde trompeuse de tes yeux Mais moi je suis l’amour à grandes guides Sous l’Étoile nommée Lou Bien que tu sois absente et si lointaine Et Lou dut se contenter d’un souci Ou d’une cigarette de Nestor Gianaklis Devant l’écluse Chanter la mort Toison claire comme une forêt en hiver je t’aime Nous énerver jusqu’à l’exaspération Qui poussait dans mon cœur et que l’on nomme Quelles semailles dont il faut attendre sans peur la moisson ? Mesdames et Mesdemoiselles qui ressemble à sa blessure Qui s’attache à vous de toutes les forces de ses ventouses Il y a un rideau de peupliers délicat délicat Il y a un beau petit cottage dans un jardin Mais se contente bien, ma foi, Entre demoiselles et dames Les Napées Si tu te courbes Ardeur comme une flamme au vent Et je cherche au quartier ce joli chien perdu Et souviens-toi parfois du temps où tu m’aimais Es-tu morte es-tu vive et l'as-tu renié Après des souvenirs, des souvenirs encore... IL y a des petits ponts épatants Ton corps, Le temple de mon amour. 1 De toi depuis longtemps je n'ai pas de ⦠» Guillaume Apollinaire, né en 1880 à Rome et mort le 9 novembre 1918, est un poète français. Et qui sont ma patrie ma famille et mon espérance Fronts de Toutou, front de l’armée. Voleter près de mon cheval. Je vais la demander en mariage pour toi. Les vieilles paroles sont mortes au dernier printemps Sur mon cœur Qui est ta vie vie même au suprême degré Taille qui n’a jamais connu le corset taille souple je t’aime Filtré des étoiles mi-closes Bouche à bouche Mes sens sont tes chevaux ton souvenir est ma luzerne Petite sœur je te prends toute La plus rare des fleurs, ô toutou, mon meilleur Je vais enfin dormir tranquille La vie et ses bonheurs la mort qui vient aider Mes cinq sens te photographie en couleurs Mon âme à ta suite s’élance Sans nouvelles de toi je suis désespéré C’est pour notre bonheur que dans la vie j’espère encore Mais quels doux souvenirs sont ceux où tu te mêles, Lou, mon amour lointain et ma divinité, Souffre que ton dévot adore ta beauté ! Ca faisait si longtemps ! lorsque trop mûr le noble fruit J’ai vu la Marne et j’ai vu l’Aisne, Il songe à Celle qu'il adore, Jolie bizarre enfant chérie Y.N Et c’est l’heure, tout s’endort, Il y a mes yeux qui cherchent ton image, Il y a un petit bois charmant sur la colline Mais, je n’en suis pas jaloux Une volupté pure petit soldat de France. * Espère dans lâAmour Poète il reviendra ... Guillaume Apollinaire, Poèmes à Lou⦠Ils écouteront attentifs les sublimes fanfares Un cœur parmi des cœurs que la gloire a vengé, Et tandis que la lune luitLe cœur chante et rechante lui La description d'un monde hostile, III. Où danse tout un chœur d’angelots gracieux. Les artilleurs vigoureux qui dans leur caserne rentrent Adieu c’est tard, Mon Lou ma chérie Je t’envoie aujourd’hui la première pervenche Devant moi dans la direction des boyaux comme fait votre arbre préféré Il pleut Bergère il pleut et le sang va tarir Ils ne reviendront plus les beaux jours révolus... Baronne Il était une fois un poète en Bohême Le temps sans toi. Celui qui doit mourir ce soir dans les tranchées Le train fuyait avec un bruit d’obus de 120 au terme de sa course Découvrez Poèmes à Lou Guillaume Apollinaire (Avec extraits de lettres à Lou) de Richard Ankri sur Amazon Music. Et j’accorde mon luth comme l’on bande un arc Aime ma chasteté La comtesse Alouette arriva dans le bois Qu'il ne faut pas battre une femme Depuis longtemps ma décision est prise. Réapprennent en voyant en voyant ta photo Voir courir De temps en temps un obus se lamente J’ai ton regard là-haut en clignements d’étoiles Ça sent l’ail et le vin et aussi l’iodoforme Basé à Nîmes, dans un régiment d'artillerie, Guillaume Apollinaire s'attend à rejoindre le front d'ici peu. Le capitaine anglais dont le vaisseau coule tire une dernière pipe d’opium J’ignore tout de toi ! Nous sommes les bat-flanc sur qui ruent les étoiles, Au lac de tes yeux très profond Je goûte ton haleine plus exquise que la fumée Magicienne du mystère Millions de grands moutons blonds quis’entrepoursuivent Dont les élytres chatoient au soleil Blessé, c’est dans un autobus 5 C'est aujourd'hui le jour de la grande visite Ma consigne ma faction D’un sabre au doux regard prêt à se teindre de sang citurme Guillau Ta voix, mon souvenir, s'éloigne, ô son du cor. Collection ... «Jouant de tous les registres, depuis les mètres traditionnels jusqu'au poème figuré, jamais Apollinaire n'a montré dans son expression une telle audace et une telle invention. Poèmes à Lou Guillaume Apollinaire - avec extraits de lettres à Lou | Richard Ankri. Puis se levant soudain auprès d’eux vient s’étendre. Adieu mon cœur Cet édredon de Cupidon ? Où tu aimes tremper ton âme Notre amour restera bien toujours ce qu’il fut Chaque jour Te redit S’amènent en longs troupeaux tristes Si tu marches Splendeur tes yeux ont le luisant Plus doux que n’est le chocolat Mon cœur embrasse les deux fronts 1 De toi depuis longtemps je n'ai pas de nouvelles Mais quels doux souvenirs sont ceux où tu te mêles, Lou, mon amour lointain et ma divinité, Souffre que ton dévot adore ta beauté ! Avec la musique en streaming sur Deezer, découvrez plus de 56 millions de titres, créez gratuitement vos propres playlists, explorez des genres différents et partagez vos titres préférés avec vos amis. Comme une statue grecque d’avant Praxitèle Sans rien prétendre. Mais qui m’amuse Mon cœur a ses blessures Et quelquefois Que passent les obus comme des étoiles filantes Qu’est-ce qui donc te la valut ?» Mais Oriande écrit un U L’odeur forte et honteuse des Saintes violées Et, tous, mon cher amour nous partirons ensuite. Pieds savants pieds qui se raidissent je vous aime d'amour, poèmes d'amour, proverbes d'amour, et tout autour de l'amour.les poèmes d'amour explore le plus profond des sentiments amoureux et nous il ne faut pas être un grand poète pour écrire des poèmes ⦠= « mes larmes tombent », « chez le major », « Je porte au cÅur une blessure ⦠Nous sommes bien Là-bas entends le cri des hommes Et vais vite Il passe des marins la mer meurt à tes pieds Qui ne trompe jamais que les âmes vulgaires Ou cette fumée sacrée si bleue C’est à douze kilomètres d’ici que sont Voudrais être Trois belles petites dames Poèmes a lou, alcools (extraits) Poèmes a lou, alcools ... Disponibilités communiquées à titre indicatif, nous ne pouvons vous les garantir. 4 février 1915, L'amour est libre il n'est jamais soumis au sortO Lou le mien est plus fort encor que la mortUn cœur le mien te suit dans ton voyage au Nord, Lettres Envoie aussi des lettres ma chérieOn aime en recevoir dans notre artillerieUne par jour au moins une au moins je t'en prie, Lentement la nuit noire est tombée à présentOn va rentrer après avoir acquis du zanUne deux trois A toi ma vie A toi mon sang, La nuit mon cœur la nuit est très douce et très blondeO Lou le ciel est pur aujourd'hui comme une ondeUn cœur le mien te suit jusques au bout du monde, L'heure est venue Adieu l'heure de ton départOn va rentrer Il est neuf heures moins le quartUne deux trois Adieu de Nîmes dans le Gard, Vais acheter une cravache Lorsque l’hiver viendra ô ma jeune beauté, Mais avez-vous le mot — Mais oui le mot fatal — J’ai reçu deux éclats d’obus je donne de tout Devant la douce mer d’azur et de sinople !.. Autour de ce soldat en méditation Ils vont comme des bœufs tanguent comme des mariniers Il vient d’Enfer Ce sont les sanglots et les cris que jettent les mourants C’est pour notre bonheur que luttent les armées Écouter dans la nuit l’onde cruelle Je l’ai donné je l’ai repris merci à toi qui pour un temps. paraît sur le point de choir Une autre fleur Plus belle encore elle paraît